Lundi 13 octobre 2025

C’est le premier épisode d’une nouvelle rubrique sur mon blog : le “Carnet de route”, pour partager de l’intérieur les temps forts de la campagne municipale à Bordeaux, derrière Nathalie Delattre. Une campagne de terrain, de convictions et d’énergie — mais aussi une aventure humaine, faite de moments intenses comme celui d’aujourd’hui.

Vendredi dernier marquait le véritable top départ de la campagne : le grand oral des candidats organisé par le journal Sud Ouest.
Une salle comble, plus de 250 personnes réunies pour écouter celles et ceux qui ambitionnent de gouverner Bordeaux.

Comment participer à ce grand oral décisif le matin à Bordeaux, et être à l’Élysée en début d’après-midi pour une réunion en pleine crise politique ? C’était l’équation (presque) impossible que Nathalie Delattre et son équipe ont dû résoudre.
Challenge réussi ! Et même doublement réussi, puisque le grand oral a été un franc succès.

De l’avis général, Nathalie a marqué les esprits : claire, énergique et concrète.


Quelques phrases fortes ont particulièrement résonné :

« Le Tram, c’est Bordeaux ! Moi, maire de Bordeaux, ce sera son grand retour ! »

« Bordeaux est asphyxiée : changeons le plan de circulation, quartier par quartier, en concertation ! »

« Venir à Bordeaux, c’est la galère. Or les commerces reviendront si les clients accèdent aux vitrines : je souhaite généraliser le stationnement minute gratuit dans toute la ville — c’est vital et visible ! »

« Pour offrir plus de logements, nous devons imaginer un grand plan bordelais de rénovation et parfois de reconstruction. »

« Bordeaux doit devenir la capitale de l’Intelligence Artificielle. »

« Je lancerai Faites place !, un plan ambitieux de rénovation des espaces publics bordelais, en concertation avec la population, pour multiplier les îlots de convivialité dans chaque quartier. »

« Je proposerai un véritable projet urbain et humain en rénovant les Boulevards et les barrières, qui se sentent aujourd’hui oubliés. »

Mais ce rendez-vous démocratique a aussi été marqué par une absence qui en dit long : celle du maire sortant, Pierre Hurmic. Un maire ne devrait jamais refuser de débattre. On ne peut pas prôner la “démocratie permanente” et fuir devant ses responsabilités. Gouverner, c’est répondre, pas se dérober.

À peine le grand oral terminé, pas de pause : retour sur le terrain. Tractages, marchés, rencontres avec les Bordelaises et les Bordelais tout le week-end.
L’accueil est excellent, partout le même sentiment : la ville a besoin d’un nouvel élan, d’un visage qui rassemble et d’une parole claire.

La campagne ne fait que commencer alors je vous donne rendez-vous semaine après semaine dans ce Carnet de route où je n’éluderai ni les joies, ni les doutes. A très vite !

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