
Le rassemblement n’est pas un mot galvaudé, il est le fondement même de toute réussite collective. Dans une société comme dans une ville, rien de grand ne se construit dans la division. L’union fait la force, et aujourd’hui, c’est cette force que nous voulons redonner à Bordeaux.
Une dynamique de rassemblement autour de Nathalie Delattre
Depuis plusieurs mois, Nathalie Delattre incarne cette volonté de rassemblement et de reconquête. Face à une ville en déclin depuis près de six ans, elle porte la conviction qu’une autre voie est possible, celle du redressement, de la fierté retrouvée et de l’action concrète. Le déclin n’est pas une fatalité.
Autour d’elle, la dynamique est réelle, sincère et tangible. Ce lundi, lors d’un déjeuner avec la presse, nous avons réaffirmé notre soutien à Nathalie et détaillé les grands axes de notre projet municipal. Ce moment fort a rassemblé l’ensemble des forces politiques qui croient à une alternative claire et responsable pour Bordeaux : Les Républicains, Horizons, le MoDem, le Parti radical et l’UDI mais également Écologie Positive ou bien encore Alliance centriste.
Mais au-delà des partis, ce sont des femmes et des hommes de terrain, des citoyens engagés, des militants passionnés qui œuvrent chaque jour. Ils croient en la chose publique, en l’intérêt général, et surtout en une idée simple : Bordeaux mérite mieux. Mener une campagne, c’est avant tout une aventure humaine, faite de conviction et de courage, de ces instants d’unité où des parcours différents se rejoignent autour d’un même refus, ne plus laisser notre « belle endormie » aux mains d’incompétents qui la détériorent jour après jour.
Pour donner de la force à ce mouvement, nous avons choisi Qomon, un outil d’organisation électorale moderne qui permet de coordonner toutes les actions menées sur le terrain. J’ai donc rencontré l’un des associés dans les bureaux de Bordeaux pour renforcer notre collaboration et dialoguer directement avec les équipes sur le terrain.
Redonner à Bordeaux une gestion responsable et ambitieuse
Au cœur de notre mobilisation, il y a bien sûr la gestion budgétaire. En six ans, Pierre Hurmic a ajouté 228 millions d’euros de dette à la charge des Bordelais. Cet endettement massif pèse lourdement sur les finances locales, tandis que les services aux habitants reculent : moins de crèches, moins d’espaces verts, mais plus d’embouteillages, plus de pollution. Voilà le vrai bilan.
Mardi, lors du conseil municipal, j’ai rappelé avec fermeté que la majorité écologiste ne pouvait plus se cacher derrière des excuses faciles. La dette explose, les projets stagnent. Bordeaux mérite un cap, pas la paralysie.
L’échéance électorale qui s’annonce sera un moment de vérité. Nous démontrerons que l’inertie de la majorité actuelle est une entrave au développement de notre ville. Nous porterons, avec détermination, un élan bordelais nouveau au service des habitants, de leur quotidien et de leur avenir.



